Guide de l'éducation bienveillante
16 février 2025
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Principes et bienfaits de l'éducation bienveillante
Marion Cuerq, spécialiste de l’éducation en Suède, explique que dans ce pays, l’éducation n’a pas besoin d’être qualifiée de bienveillante. Elle l’est par essence. En France, en revanche, le terme suscite encore des débats. Beaucoup pensent que l’éducation bienveillante mène à une génération d’« enfants rois », tandis que d’autres y voient un impératif pour accompagner le développement harmonieux de l’enfant.
Pourtant, l’éducation, dans sa définition même, implique une relation fondée sur la bienveillance, le respect et l’accompagnement de l’enfant. Mais dans les faits, cette approche est loin d’être systématique. Les violences éducatives ordinaires (VEO) – qu’il s’agisse de cris, de menaces, de châtiments corporels ou de paroles dévalorisantes – restent encore trop présentes dans notre société, souvent par automatisme ou par héritage des pratiques éducatives passées.
Ce constat met en lumière la nécessité d’un changement profond. Les recherches récentes en psychologie, neurosciences et pédagogie montrent que ces pratiques coercitives peuvent avoir des conséquences durables sur le développement émotionnel et cognitif de l’enfant. À l’inverse, l’éducation bienveillante place le respect des besoins de l’enfant au cœur de la relation adulte-enfant. Elle favorise un développement équilibré, encourage l’autonomie et crée un climat propice aux apprentissages.
Apprendre à éduquer dans le respect des besoins de l’enfant, c’est construire une société plus empathique et solidaire. C’est aussi, pour chaque parent ou éducateur, un cheminement exigeant, qui nécessite réflexion et adaptation, mais dont les bénéfices à long terme sont inestimables.
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Qu’est-ce que l’éducation bienveillante ?
Les origines de l’éducation bienveillante
L'éducation bienveillante est une approche centrée sur l'enfant. Elle met l'accent sur le respect, la communication et l'écoute active. Elle rejette toute forme de violence, qu'elle soit verbale, physique ou émotionnelle. Rappelons qu’en France, les violences éducatives ordinaires sont interdites par la loi depuis 2019.
Attention, éduquer avec bienveillance n’est pas synonyme de laxisme. L’enfant a besoin d’un cadre pour bien se construire. Il a besoin de connaître les règles, règles qui évoluent avec sa maturité grandissante.
Au XXIᵉ siècle, l’éducation bénéficie de plusieurs décennies de recherches en psychologie, philosophie et pédagogie. Ces études confirment ce qui est bon pour un développement harmonieux de l’enfant. Ainsi, l’éducation bienveillante s'appuie sur :
- La psychologie humaniste : Abraham Maslow et Carl Rogers ont souligné l'importance de respecter les besoins et les émotions des enfants dans l'éducation.
- Les travaux de la pédiatre et psychanalyste Françoise Dolto : elle invitait à considérer l’enfant comme un être à part entière. Néanmoins, des recherches ultérieures ont montré que contrairement à ce qu’elle avançait, l’enfant n’a pas besoin de l’autorité de l’adulte pour se construire. Il a besoin d’un cadre éducatif, d’adultes de référence ou qui font autorité.
- La théorie de l'attachement : les recherches de John Bowlby et Mary Ainsworth ont mis en évidence l'importance d'une relation sécurisante entre la figure d'attachement et l'enfant. Quand le lien d’attachement est sain, empreint d’affection, d’amour et de connexion physique, le bébé se sent suffisamment en sécurité pour explorer le monde de son propre chef.
- Les neurosciences : des études récentes montrent que l’éducation coercitive, la parentalité sévère ont un impact délétère direct sur le développement cérébral de l’enfant, contrairement à l'affection et à la bienveillance (cf. la parentalité positive à l’épreuve de la science).
- Les pédagogies alternatives : Maria Montessori, Célestin Freinet, Piaget, Decroly avaient compris, avant même que les neurosciences ne le confirment, que la pédagogie active était la plus adaptée au développement physique et cognitif de l’enfant. Leurs approches sont toutes basées sur l'autonomie et le respect de l'enfant. L’adulte est un guide qui a pleinement confiance en l’enfant.
L'éducation bienveillante repose donc sur l'idée que les enfants se développent mieux dans un environnement respectueux et sécurisant, tant sur le plan émotionnel que physique.
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Les bienfaits de l’éducation bienveillante pour le développement de l’enfant
Le rôle du cerveau dans l’éducation
Le cerveau de l’enfant est en plein développement, particulièrement dans les premières années de vie. Comprendre son fonctionnement est essentiel pour adopter une approche éducative adaptée. Voici 3 éléments à avoir en tête quand on accompagne des enfants dans leur développement.
- Un cerveau immature : les zones cérébrales responsables de l’autorégulation et de la gestion des émotions, comme le cortex préfrontal, ne sont pas pleinement développées avant l’adolescence. L’enfant a donc besoin d’un accompagnement patient.
- L’impact de la punition : les sanctions, surtout lorsqu’elles sont violentes ou humiliantes alors même qu’elles sont interdites, activent la réponse au stress (via l’amygdale) et peuvent inhiber les capacités d’apprentissage. Ce stress peut avoir des effets négatifs durables sur le développement émotionnel.
- Une alternative éducative, réparer plutôt que punir : lorsque l’enfant fait une erreur, l’inviter à réfléchir et à réparer ses actions lui permet de comprendre les conséquences de ses actes. Cela développe son sens des responsabilités et favorise l’apprentissage positif.
Les impacts positifs de l’éducation bienveillante sur l’enfant
Pratiquer une réelle éducation bienveillante, c’est créer un environnement, avec des règles claires, dans lequel l’enfant se sent respecté et valorisé. Ce cadre a plusieurs effets positifs sur son développement. Il lui donne :
- Un sentiment de sécurité émotionnelle : l’enfant évolue dans un contexte où ses besoins affectifs sont pris en compte. Il se sent écouté et compris.
- Confiance en soi et autonomie : en étant encouragé plutôt que critiqué, l’enfant ose prendre des initiatives et développer sa capacité à agir par lui-même.
- Une meilleure gestion des émotions : l’enfant apprend à identifier et réguler ses émotions en observant des comportements bienveillants chez l’adulte. Il apprend également énormément par mimétisme. L’exemplarité des adultes en matière de régulation des émotions est donc essentielle.
- Une curiosité et un plaisir d’apprendre : un environnement sans crainte de l’échec et de la sanction stimule l’envie naturelle de découvrir et d’expérimenter.
L’éducation bienveillante n’est pas seulement une méthode : c’est un outil puissant pour favoriser le bien-être et le plein potentiel des enfants, en respectant leur développement cérébral et émotionnel.
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Comment pratiquer l’éducation bienveillante au quotidien ?
Dans les faits, comment se traduit une éducation bienveillante au quotidien ?
Pratiquer une telle éducation, c’est adopter des attitudes et des actions qui respectent les besoins émotionnels et cognitifs de l’enfant, mais aussi les siens, en tant que parent à la maison ou enseignant à l’école.
Cela nécessite d’avoir en tête quelques points importants :
- l’enfant n’est pas un mini-adulte et on ne peut pas exiger de lui qu’il se comporte comme tel : il n’a pas la maturité cérébrale pour réguler ses émotions (d’ailleurs nombre d’adultes ne parviennent pas à réguler les leurs…) ;
- on apprend de ses erreurs, si on les comprend, pas si elles sont condamnées ;
- pour pouvoir accueillir les émotions de l’enfant, il faut savoir identifier les siennes et connaître ses propres limites ;
- la bienveillance n’exclut pas de poser un cadre éducatif structurant qui favorisel’autonomie, la confiance et l’apprentissage.
À la maison : instaurer un climat de sérénité
L’environnement familial est souvent le premier espace où l’enfant découvre les interactions sociales. Appliquer l’éducation bienveillante au quotidien, c’est être en mesure de :
- Remplacer les cris par l’écoute
Plus facile à dire qu’à faire, sauf si l’on a bien en tête que l’enfant est un être en plein développement et qu’il a besoin d’être accompagné pour apprendre. Ainsi, lorsque l’enfant fait une erreur ou manifeste de l’agitation, des émotions fortes, on prend un moment pour écouter son besoin sous-jacent.
On valide les émotions de son enfant : « Je vois que tu es frustré, c’est difficile de s’arrêter quand on joue. Je te comprends. Je t’aide à ranger pour que tu puisses poursuivre demain. ». Quand l’enfant est en mesure de s’exprimer, on peut le faire participer à la recherche d’une solution.
Et si on sent que l’on n’est pas capable de gérer sereinement la situation, on laisse passer son propre orage intérieur. On s’applique à soi le fameux time out (et non à l’enfant). - Encourager et valoriser les efforts
La manière dont on réagit aux actions de l’enfant influence fortement son estime de lui-même. Alors, on se concentre sur ses efforts, sur le chemin parcouru plutôt que sur les résultats : « Tu as fait beaucoup d’efforts pour ranger, c’est super ! »
Et on évite les étiquettes et comparaisons (« Tu es le meilleur »), qui conditionnent et créent des attentes irréalistes - Créer des routines et moments sécurisants
Les routines structurent la journée de l’enfant et le rassurent. Des moments d’échange réguliers renforcent aussi le lien parent-enfant.
Parmi les rituels simples, on trouve l’incontournable histoire partagée du soir ou encore les discussions où chacun parle d’un moment phare de sa journée, pendant le dîner.
Ces routines sont aussi l’occasion d’instaurer des moments d’autonomie pour le choix du pyjama, le brossage des dents, etc.
À l’école : vers une pédagogie bienveillante
Dans un cadre scolaire, l’éducation bienveillante repose sur des principes similaires : message clair, respect, écoute et valorisation. Les enseignants peuvent intégrer ces pratiques dans leur pédagogie :
- S’inspirer des pédagogies actives
Adopter des approches comme Montessori ou Freinet permet de créer un cadre d’apprentissage plus respectueux du rythme de l’enfant.
Ainsi, dans une ambiance Montessori 3-6 ans, la classe est organisée autour de 5 aires d’apprentissage au sein desquelles les élèves évoluent, en autonomie, guidés par l’éducateur qui assure un suivi personnalisé.
Des temps collectifs d’échanges et de projets permettent de développer des interactions sociales positives et la coopération. - Valoriser les progrès plutôt que les résultats
On encourage chaque étape franchie, même minime, pour renforcer la confiance en soi de l’enfant. Et on évite les critiques qui risquent de décourager. Il est préférable d’indiquer des points à améliorer que de dire que ce n’est pas bien fait. Le risque, c’est d’être dans le jugement et non dans l’observation constructive. - Être formé à des outils de communication bienveillante
Des approches comme la Communication Non Violente (CNV) ou la gestion des émotions peuvent transformer la dynamique de classe. Ces méthodes aident à désamorcer les tensions et à gérer les conflits sans crier ou sanctionner.
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Éduquer sans punir : une alternative essentielle
Les punitions traditionnelles, qu’elles soient physiques ou verbales, ne sont pas compatibles avec l’éducation bienveillante. Non seulement elles n’apprennent rien à l’enfant, mais elles peuvent aussi générer du stress ou de la peur. Elles peuvent avoir des conséquences néfastes sur le développement de l’enfant.
- Pourquoi les punitions ne fonctionnent pas
Selon les experts comme Roseline Roy, les punitions ne fonctionnent pas. Elles bloquent l’apprentissage, car elles activent la zone du stress dans le cerveau de l’enfant. Elles n’aident pas à comprendre les conséquences de ses actes. - La réparation comme alternative
En proposant à l’enfant de réparer ses erreurs de manière constructive, non seulement il apprend, mais en plus, les relations sont tout de suite de bien meilleure qualité… et le resteront sur le long terme. L’enfant sait qu’il trouvera toujours un espace bienveillant pour se confier, un environnement où il ne sera pas jugé.
L’enfant renverse, casse ? Que l’adulte qui n’a jamais cassé de verre ou échappé un pot rempli de confitures ou de graines en tout genre lève la main ! Que fait-on dans ce cas, on répare : on nettoie, on ramasse. Il en va de même pour l’enfant, dans la limite de ce qu’il est en mesure de faire pour son âge. Cela lui apprend à assumer ses actes tout en renforçant ses compétences pratiques.
Éducation bienveillante ou éducation positive : quelles différences et limites ?
On entend tout à la fois parler d’éducation bienveillante et d’éducation ou de pédagogie positive. Est-ce la même chose ?
L’une comme l’autre visent à créer une relation respectueuse et épanouissante entre l’enfant et l’adulte. La première s’appuie plus sur la posture de l’adulte, alors que la deuxième met en avant des outils, des techniques.
Un cadre global vs des techniques spécifiques
L’éducation bienveillante est une approche holistique. Elle s’intéresse à la qualité globale de la relation adulte-enfant. Elle met l’accent sur l’écoute, l’empathie, la communication et le respect mutuel.
L’éducation positive se concentre davantage sur des outils concrets pour encourager les comportements souhaités. Elle s’appuie notamment sur le renforcement positif (valoriser les actions positives plutôt que de sanctionner les erreurs).
Une philosophie vs une méthodologie
L’éducation bienveillante est plutôt une philosophie de vie. Elle invite l’adulte à revoir en profondeur son attitude et ses réactions face à l’enfant.
L’éducation positive propose des pratiques éducatives spécifiques, comme l’utilisation de tableaux de récompenses ou des compliments ciblés.
Finalité émotionnelle vs comportementale
L’objectif principal de l’éducation bienveillante est de développer un lien émotionnel sécurisant avec l’enfant. Elle s’intéresse à ses besoins et émotions avant tout.
L’éducation positive vise à renforcer les comportements positifs tout en respectant l’enfant, mais avec une attention plus marquée sur les résultats comportementaux.
L’une n’empêche pas l’autre. Les enfants n’ont pas tous les mêmes besoins. Certains peuvent avoir besoin de renforçateurs pour leur développement, en plus de tous les bienfaits d’une éducation bienveillante.
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Quand l’éducation bienveillante est mal appliquée et interprétée…
Bienveillance et frustration font bon ménage
Nous l’avons vu, l’éducation bienveillante ne signifie pas absence de cadre ou de règles, contrairement à ce qu’avancent ses détracteurs. Certains parents ou éducateurs peuvent craindre de « frustrer » l’enfant en fixant des règles. On peut alors tomber dans une forme de laxisme éducatif, qui est dommageable pour l’enfant. Car oui, les enfants ont besoin de règles claires pour se sentir en sécurité.
Ils ont également besoin d’éprouver le sentiment de frustration. L’important, c’est d’accompagner cette émotion. Il convient mieux de parler de contrôle inhibiteur pour comprendre de quoi il retourne.
Prenons l’exemple de l’ambiance Montessori 3-6 ans. Dans un tel environnement, les activités n’existent qu’en un seul exemple. Si un enfant souhaite prendre une activité, qui est déjà entre les mains d’un camarade, il va devoir attendre son tour. Il vit une frustration, mais les règles sont claires. Il apprend à se contrôler.
Le contrôle inhibiteur est l’une des 3 fonctions exécutives clés que permet de développement l’environnement préparé Montessori. Les deux autres sont la mémoire de travail et la flexibilité cognitive.
Pour l’adulte, la bienveillance, c’est une posture plus qu’un effort
Il n’est pas rare d’entendre que l’éducation bienveillante nécessite de gros efforts de la part des adultes, qui doivent constamment prendre sur eux.
Le plus gros effort à fournir est peut-être le travail sur soi que l’on doit mener. Il faut être en mesure de s’écouter soi-même, pour pouvoir écouter l’autre. Si on a été éduqué selon les principes de l’éducation bienveillante, généralement, les adultes ne parlent pas d’effort. Leur posture est naturelle. Marion Cuerq en parle régulièrement quand elle évoque l’éducation en Suède et les parents suédois.
Si adopter une éducation bienveillante nécessite de se défaire de quelques schémas parentaux, cela peut demander un peu plus de travail. Désapprendre des schémas hérités ne se fait pas en claquant des doigts et peut s’avérer épuisant dans des contextes de fatigue ou de stress. Les réflexes (crier, punir) peuvent pointer le bout de leur nez pendant la période de désapprentissage.
Adopter une éducation bienveillante demande un précieux travail sur soi, de la patience et de l’empathie. C’est une démarche progressive et imparfaite. L’essentiel est de faire de son mieux.
Ne pas culpabiliser
Et quand on parle d’empathie, elle n’est pas seulement destinée à l’autre. Elle est aussi tournée vers soi-même. Les parents et enseignants peuvent se sentir insuffisants lorsqu’ils perdent patience ou ne parviennent pas à appliquer cette méthode en permanence. Cette culpabilité peut être un frein à leur propre bienveillance envers eux-mêmes.
Les erreurs ponctuelles n’effacent pas tous les efforts bienveillants. S’accorder le droit à l’imperfection est essentiel pour rester dans une dynamique positive. Si l’on s’en veut d’avoir haussé le ton, rien n’empêche d’en parler avec les enfants une fois le calme retrouvé.
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Pourquoi les écoles Esclaibes adoptent une éducation bienveillante ?
Les écoles Esclaibes International Schools à Paris, Marseille, Clichy reposent toutes sur une même vision pédagogique : le bien-être et un enseignement bilingue d’excellence. L’éducation bienveillante et la pédagogie active fondent notre démarche éducative. La pédagogie Montessori, utilisée au sein des établissements du réseau s’inscrit harmonieusement dans cette démarche. Elle est complétée par plusieurs initiatives qui favorisent le well-being des élèves.
Une pédagogie centrée sur l’autonomie et le respect du rythme
La pédagogie Montessori repose sur le respect du rythme individuel de chaque enfant. Elle permet à chacun d’explorer à son propre rythme et de développer son autonomie.
Dans nos écoles bilingues de Paris, Clichy et Marseille, ce principe se traduit par des plans de travail personnalisés qui tiennent compte des intérêts et des capacités de chaque élève. Ce suivi individualisé encourage l’autonomie. Il aide l’enfant à prendre confiance en ses compétences.
Des environnements sécurisants pour un bien-être global
L’éducation bienveillante ne se limite pas aux interactions entre enfants et adultes. Elle s’étend à l’environnement physique et émotionnel de l’enfant.
Nos écoles internationales (ainsi que nos crèches) sont à taille humaine et agencées avec des espaces dans lesquels les enfants se sentent en sécurité, respectés et soutenus. Des coins lecture, des espaces de détente et des salles dédiées aux activités de bien-être (yoga, méditation) sont intégrés dans les établissements pour favoriser le calme et l’épanouissement.
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Une culture de collaboration et d’entraide
Dans un cadre bilingue et multiculturel, les écoles maternelles et élémentaires du réseau Esclaibes International Schools valorisent la collaboration et l’entraide. L’enseignement bilingue dès le plus jeune âge permet aux enfants d’évoluer dans un environnement riche et ouvert.
Des ateliers philosophiques sont organisés pour encourager les enfants à s’exprimer librement et à écouter les autres. Ces échanges développent des compétences sociales précieuses et renforcent la cohésion de groupe.
Dans les écoles Esclaibes, chaque enfant est considéré comme un individu unique, dont le bien-être est la clé de l’épanouissement et des apprentissages.
Pour les parents et les enseignants, l’éducation bienveillante est un chemin, pas une destination. Chaque jour est une opportunité pour apprendre et grandir ensemble.Vous souhaitez en savoir plus sur les méthodes des établissements Esclaibes International Schools et leur engagement envers une éducation respectueuse et bienveillante ? Découvrez notre approche pédagogique et rejoignez une communauté dédiée au bien-être et à l’épanouissement des enfants. Contactez-nous !
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